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elecciones presidenciales francesas: la derecha arrolla a la izquierda

Última respuesta: 25 de abril de 2007 a las 17:00
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an0N_973289999z
23/4/07 a las 15:43

ELECTION PRESIDENTIELLE

Sarkozy et Royal au 2ème tour

Publié il y a 48 minutes

Le candidat de lUMP, Nicolas Sarkozy, arrive en tête du premier tour de lélection présidentielle, suivi par la socialiste Ségolène Royal, selon les estimations TNS-Sofres Logica CMG pour TF1, RTL et France 24.


Par france24.com

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Le candidat de la droite française, Nicolas Sarkozy (UMP), est arrivé en tête du premier tour de lélection présidentielle en France. Il affrontera la candidate de la gauche socialiste, Ségolène Royal (PS), au second tour pour le fauteuil de président à la suite de Jacques Chirac, selon les estimations TNS-Sofres Logica CMG pour TF1, RTL et France 24.

Devant les 12 candidats en lice, Nicolas Sarkozy obtient 30 % des voix, alors que Ségolène Royal rassemble 25,2 % des électeurs.

En troisième position, arrive le candidat centriste François Bayou (UDF), qui a fait une entrée remarquée dans la campagne présidentielle, et réussi une montée surprise dans les sondages depuis janvier 2007, se positionnant comme le possible troisième homme. Il a obtenu 18 % des voix.

Quant à Jean-Marie Le Pen (FN), le candidat de lextrême droite, na pas réussi à réitérer sa performance de 2002, où à la grande surprise générale, il était parvenu à gagner sa place au deuxième tour, face à Jacques Chirac. Il arrive cette fois-ci en quatrième position, avec 11,5 % des voix.

Lancien ministre de lIntérieur et des Finances, Nicolas Sarkozy avait de lavance sur Ségolène Royal dans la plupart des sondages à la fin de la campagne. Les deux finalistes pour la course à lElysée saffronteront donc le dimanche 6 mai. Ils ont encore deux semaines de campagne pour convaincre.



Les petits candidats



Par rapport au premier tour de 2002, les électeurs français ont voté en plus grand nombre pour les principaux candidats de la présidentielle. Les trois premiers candidats navaient rassemblé alors quà peine 43%. Cette fois-ci, Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal et François Bayrou ont rassemblé plus de 70 %, les neuf autres candidats se partageant moins de 30 % des voix.

Les candidats anti-libéraux ont souffert de l'appel au vote utile afin d'éviter l'éviction du candidat socialiste au premier tour de l'élection présidentielle comme en 2002, mais aussi de leur propre division : ils étaient cinq à la gauche de la gauche.

Pour les "petits", dont aucun n'a dépassé 5% d'intentions de vote dans les enquêtes d'opinion, il s'agit d'accumuler suffisamment de voix pour peser sur le deuxième tour en négociant son ralliement. De plus, la barre des 5% leur permet de se faire rembourser les frais de campagne. Aucun ny est parvenu, même Olivier Besancenot, qui arrive en tête des anti-libéraux, arrive seulement à 4,5% des voix.



Participation record



On se souviendra du scrutin de ce dimanche comme celui du regain dintérêt des Français dans la politique. La participation des Français au premier tour était exceptionnellement élevée ce dimanche, atteignant 84,5 %, un taux bien supérieur à ceux des quatre dernières présidentielles en hausse de plus de 10 points sur celui de 21 avril 2002. La poussée de la mobilisation de lélectorat a été constatée dans lensemble des départements de métropole mais aussi en Outre-mer.

En 2002, lors du premier tour de la dernière élection présidentielle le duel Chirac-Jospin paraissait, à tort, couru d'avance. Le taux d'abstention avait alors atteint un taux record dans l'histoire de la Ve République pour un premier tour avec 28,40% (contre 21,6% en 1995).

Cette année, l'augmentation du nombre d'inscrits sur les listes électorales montre un regain denthousiasme politique en France. Selon le ministère de l'Intérieur, c'est le taux le plus élevé depuis 1981. En comparaison avec 2002, 3,3 millions d'électeurs supplémentaires sont inscrits sur les listes, dont beaucoup de jeunes âgés de 18 à 30 ans.



Quatre candidats en lice pour un second tour

Nicolas Sarkozy est le favori de cette élection la plus imprévisible dans lhistoire récente. Fils dun immigré hongrois, il défend une ligne ferme face à la délinquance et limmigration illégale. Il est considéré, par les milieux financiers, comme le candidat le plus crédible sur les questions économiques. Volontiers provocateur, il a notamment utilisé le terme racaille pour dénommer les jeunes fauteurs de trouble, quelques jours avant le début des émeutes en banlieues de 2005. Ses rivaux le qualifient de dangereux autoritaire, laccusant en particulier de draguer les électeurs de Jean-Marie Le Pen.



Face à lui, Ségolène Royal a mené une campagne axée sur les thèmes socialistes comme laugmentation du revenu minimum ou lemploi des jeunes. Sur la sécurité et la lutte contre le chômage, elle a avancé des mesures qui contrastent avec les prises de positions traditionnelles du PS. Dans une logique de démocratie participative, elle a aussi énoncé lidée que des jurys populaires jugent laction des élus, si bien que certains lont qualifiée de populiste.



François Bayrou espérait quant à lui rassembler les électeurs déçus par le traditionnel clivage gauche-droite, et qui aspirent à une réelle rupture avec le passé. Durant sa campagne, il a travaillé à apparaître comme le troisième homme susceptible de bousculer la scène politique française, en proposant une troisième voie entre les deux pôles traditionnels du pouvoir, la gauche socialiste et la droite conservatrice.



La présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle de 2002 avait choqué la France, la privant dun débat droite-gauche, cette dernière appelant à voter pour Jacques Chirac.



Si Nicolas Sarkozy faisait la course en tête des sondages depuis la mi-janvier, lissue du scrutin nen restait pas moins incertaine tant le taux dindécis était fort. Les instituts de sondage ont estimé quun tiers des 44,5 millions délecteurs nétaient pas sûrs de leur choix, donnant espoir à François Bayrou et au vétéran de lextrême droite Jean-Marie Le Pen.



La rupture avant tout



La campagne électorale a été dominée par les appels à la rupture après douze années de pouvoir de Jacques Chirac. Il ny a pas eu, comme en 2002, un thème dominant comme celui de la sécurité, mais de nombreux thèmes évoqués, notamment le fort taux de chômage des jeunes et la dette publique. Suite à des différends entre les deux hommes, le président Jacques Chirac a annoncé brièvement quil soutenait la candidature de M. Sarkozy en mars dernier, tardivement dans la campagne.



Et Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, favori des sondages depuis janvier, ont fait campagne en promettant le changement. Brisant des tabous dans leur propre parti, et saventurant sur des terrains nouveaux, les deux candidats ont secoué leur mouvement, attirant les foudres des pontes de leur parti respectif. Selon de nombreux commentateurs, les principaux candidats ont modifié leur style politique mais promeuvent globalement toujours des politiques traditionnelles.



Ségolène Royal a inauguré une nouvelle approche de la politique, mélangeant des mesures inspirées de discussions ayant lieu sur son site Internet Désirs davenir avec un programme fermement à gauche. Séloignant des traditions gaullistes, Nicolas Sarkozy a déclaré que la France avait besoin dune rupture claire, promouvant des réformes à langlo-saxonne sur léconomie et le secteur public.



Si la dernière présidentielle a été marquée par lascension surprise du candidat de lextrême droite, Jean-Marie Le Pen, cette année, lascension de François Bayrou en février 2007 a changé la donne de ce premier tour. Peu avant la fin de la campagne, l'ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard a appelé à une alliance entre le PS et l'UDF avant le premier tour , ce que Ségolène Royal a rejeté mais été salué par François Bayrou comme une proposition très importante .



Pour la première fois en France, un tiers des candidats à la présidentielle sont des femmes, un évolution de taille dans un pays qui na jamais élu de femme à la présidence de la République. Signe de changement, Ségolène Royal est la première femme de lhistoire à être en position de gagner les élections.

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A
an0N_973291399z
23/4/07 a las 19:57

Esperemos que sarkozy tenga suerte
y enganche y después sepa gobernar y ser amistoso con España, nos ayude algo para arreglar lo que destroce el solemne majadero este, con la ETA y con Rovireche

A
an0N_973289999z
25/4/07 a las 15:49
En respuesta a an0N_973291399z

Esperemos que sarkozy tenga suerte
y enganche y después sepa gobernar y ser amistoso con España, nos ayude algo para arreglar lo que destroce el solemne majadero este, con la ETA y con Rovireche

Recordemos los apoyos de zp
Recordemos:
Apoyó a John Kerry, y ganó Bush.
Apoyó al contrincante de Angela Merkel, y ganó ésta.
Apoyó al contrincante de Blair, y ganó Blair.
Y ahora apoya a Ségolène Royal ¿quién creeis que ganará?

¡EXACTO!

I
ignasi_697981
25/4/07 a las 17:00
En respuesta a an0N_973289999z

Recordemos los apoyos de zp
Recordemos:
Apoyó a John Kerry, y ganó Bush.
Apoyó al contrincante de Angela Merkel, y ganó ésta.
Apoyó al contrincante de Blair, y ganó Blair.
Y ahora apoya a Ségolène Royal ¿quién creeis que ganará?

¡EXACTO!

Sarkozy

Ya que no puede ser Philippe de Villiers, espero que sea Sarkozy quien gane las presidenciales.
Francia, al igual que los demás paises de Europa, necesita un presidente que sepa decir basta a la inmigración. No puede ser que entre toda la gente que quiera, que pase de la manera que sea (aunque tenga que derribar vallas o atacar a los guardias de las fronteras) y que una vez aquí, se quede porque sí. Es como si alguien roba un banco, y una vez que está en el interior de la sucursal ya no se le puede detener y hay que dejarle que se vaya con el botín.
La situación es ya extrema asi que si alguien quiere entrar, que pida permiso. Y si alguien entró de forma ilegal, que se le expulse.

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